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École privée sous contrat

Histoire d’Edmond J. SAFRA

Né dans une riche famille de banquiers juifs qui finançaient jadis les caravanes de chameaux, il est engagé à 16 ans dans la banque de son père et s’occupe du département des métaux précieux.

Edmond Safra a ouvert une société de négoce à Milan. La famille déménage à nouveau en 1952 et s’installe au Brésil. Edmond Safra y fonde en 1955 la Banco Safra S.A.

Edmond Safra s’installe à Genève en 1956, où il vivra plus de 40 ans, pour lancer une banque privée, la Trade Development Bank. Il y trouve un milieu favorable aux affaires et y étend son empire financier, mettant un point d’honneur à satisfaire ses clients fortunés partout dans le monde.

Edmond Safra a ouvert une société de négoce à Milan. La famille déménage à nouveau en 1952 et s’installe au Brésil. Edmond Safra y fonde en 1955 la Banco Safra S.A.

Edmond Safra s’installe à Genève en 1956, où il vivra plus de 40 ans, pour lancer une banque privée, la Trade Development Bank. Il y trouve un milieu favorable aux affaires et y étend son empire financier, mettant un point d’honneur à satisfaire ses clients fortunés partout dans le monde. Il fonde ensuite la Republic National Bank of New York en 1966. En 1988, Edmond Safra a également fondé la Safra Republic Holdings S.A.

Edmond Safra a ouvert une société de négoce à Milan. La famille déménage à nouveau en 1952 et s’installe au Brésil. Edmond Safra y fonde en 1955 la Banco Safra S.A.

Edmond Safra s’installe à Genève en 1956, où il vivra plus de 40 ans, pour lancer une banque privée, la Trade Development Bank. Il y trouve un milieu favorable aux affaires et y étend son empire financier, mettant un point d’honneur à satisfaire ses clients fortunés partout dans le monde. Il fonde ensuite la Republic National Bank of New York en 1966. En 1988, Edmond Safra a également fondé la Safra Republic Holdings S.A.

La vente de la Trade Development Bank à American Express pour plus de 450 millions de dollars en 1983 a abouti à une bataille juridique entre les deux parties. Le financier s’en tire à son avantage en recevant des excuses publiques de la part d’American Express qui a lancé à son encontre une campagne de diffamation. Il a également reçu 8 millions de dollars de dommages et intérêts, entièrement reversés à des œuvres de charité dont la Croix-Rouge et l’hôpital universitaire de Genève.

Source : Wikipédia

Edmond Safra a ouvert une société de négoce à Milan. La famille déménage à nouveau en 1952 et s’installe au Brésil. Edmond Safra y fonde en 1955 la Banco Safra S.A.

Edmond Safra s’installe à Genève en 1956, où il vivra plus de 40 ans, pour lancer une banque privée, la Trade Development Bank. Il y trouve un milieu favorable aux affaires et y étend son empire financier, mettant un point d’honneur à satisfaire ses clients fortunés partout dans le monde. Il fonde ensuite la Republic National Bank of New York en 1966. En 1988, Edmond Safra a également fondé la Safra Republic Holdings S.A.

La vente de la Trade Development Bank à American Express pour plus de 450 millions de dollars en 1983 a abouti à une bataille juridique entre les deux parties. Le financier s’en tire à son avantage en recevant des excuses publiques de la part d’American Express qui a lancé à son encontre une campagne de diffamation. Il a également reçu 8 millions de dollars de dommages et intérêts, entièrement reversés à des œuvres de charité dont la Croix-Rouge et l’hôpital universitaire de Genève.

À l’orée des années 1990, la fortune d’Edmond Safra est estimée à 2,5 milliards de dollars. Il effectue de nombreuses donations pour des hôpitaux, des écoles, des universités, ainsi que pour des organisations caritatives de par le monde. À presque 60 ans, le financier passe son temps entre ses résidences genevoises, new-yorkaise et sa villa de la Côte d’Azur.

Affaibli par la maladie de Parkinson, Edmond Safra décide de vendre son empire financier.

En décembre 1999, Edmond Safra meurt à 67 ans asphyxié dans son appartement de Monaco par un incendie d’origine criminelle. Quelques jours plus tôt, il avait été naturalisé monégasque par ordonnance souveraine du prince Rainier III. Il est enterré au Cimetière israélite de Veyrier, à Genève.

Edmond J. Safra a soutenu de nombreuses causes et organisations partout dans le monde dans des domaines variés tels que l’éducation, la médecine, la culture et l’humanitaire.

Edmond Safra a massivement contribué à la construction et la restauration de synagogues, celles portant dans le monde entier le nom de son père témoignent de cet engagement.

Il a construit la première synagogue depuis 500 ans à Madrid et a aidé à rénover et agrandir des synagogues à Amsterdam, Istanbul, Naples, Budapest, Rhodes et Vienne. Il a sauvé de la destruction la plus vieille synagogue de France, à Clermont-Ferrand, en l’achetant pour la communauté. Il a contribué à l’expansion de la synagogue de Cannes et de la synagogue Beth El à Paris. Il a également aidé à remettre à neuf des synagogues dans beaucoup de petites villes françaises incluant Évian, Annemasse et d’autres.

En plus de soutenir des synagogues en Israël, les tombes de Rabbi Meïr Baal Haness et Rabbi Shimon bar Yohaï étaient très importantes pour Edmond Safra, qui était un très généreux donateur pour ces sites de pèlerinages. Pendant de nombreuses années, à Chavouot (Pentecôte Juive), le jour de l’anniversaire de la mort de son père, il allait prier sur la tombe de Rabbi Meïr jusqu’à l’aube.

Edmond J. Safra a donné des millions de dollars pour fournir des traitements médicaux contre les maladies. Les hôpitaux à travers le monde – par exemple l’hôpital cantonal de Genève, les hôpitaux de France et de nombreuses institutions aux États-Unis – ont bénéficié de la générosité d’Edmond Safra. Il était un des fondateurs de l’hôpital Albert Einstein à São Paulo, qui est aujourd’hui l’un des plus grands et prestigieux centres médicaux d’Amérique du Sud. En Israël, il a initié la construction de l’hôpital d’avant-garde pour enfants Edmond et Lily Safra à Tel Hashomer.

Dans le domaine de la recherche médicale, il était un donateur significatif de l’Institut Pasteur à Paris, l’Institut Weizmann en Israël, la Fondation Michael J. Fox pour la recherche sur la maladie de Parkinson aux États-Unis, ainsi que de nombreux centres étudiant des maladies spécifiques dans le monde entier. Il a créé la Chaire Edmond et Lily Safra dans la recherche contre le cancer du sein à l’Université de Tulane.

Source : Wikipédia

À l’orée des années 1990, la fortune d’Edmond Safra est estimée à 2,5 milliards de dollars. Il effectue de nombreuses donations pour des hôpitaux, des écoles, des universités, ainsi que pour des organisations caritatives de par le monde. À presque 60 ans, le financier passe son temps entre ses résidences genevoises, new-yorkaise et sa villa de la Côte d’Azur.

Affaibli par la maladie de Parkinson, Edmond Safra décide de vendre son empire financier.

En décembre 1999, Edmond Safra meurt à 67 ans asphyxié dans son appartement de Monaco par un incendie d’origine criminelle. Quelques jours plus tôt, il avait été naturalisé monégasque par ordonnance souveraine du prince Rainier III. Il est enterré au Cimetière israélite de Veyrier, à Genève.

Edmond J. Safra a soutenu de nombreuses causes et organisations partout dans le monde dans des domaines variés tels que l’éducation, la médecine, la culture et l’humanitaire.

Edmond Safra a massivement contribué à la construction et la restauration de synagogues, celles portant dans le monde entier le nom de son père témoignent de cet engagement.

Il a construit la première synagogue depuis 500 ans à Madrid et a aidé à rénover et agrandir des synagogues à Amsterdam, Istanbul, Naples, Budapest, Rhodes et Vienne. Il a sauvé de la destruction la plus vieille synagogue de France, à Clermont-Ferrand, en l’achetant pour la communauté. Il a contribué à l’expansion de la synagogue de Cannes et de la synagogue Beth El à Paris. Il a également aidé à remettre à neuf des synagogues dans beaucoup de petites villes françaises incluant Évian, Annemasse et d’autres.

En plus de soutenir des synagogues en Israël, les tombes de Rabbi Meïr Baal Haness et Rabbi Shimon bar Yohaï étaient très importantes pour Edmond Safra, qui était un très généreux donateur pour ces sites de pèlerinages. Pendant de nombreuses années, à Chavouot (Pentecôte Juive), le jour de l’anniversaire de la mort de son père, il allait prier sur la tombe de Rabbi Meïr jusqu’à l’aube.

Edmond J. Safra a donné des millions de dollars pour fournir des traitements médicaux contre les maladies. Les hôpitaux à travers le monde – par exemple l’hôpital cantonal de Genève, les hôpitaux de France et de nombreuses institutions aux États-Unis – ont bénéficié de la générosité d’Edmond Safra. Il était un des fondateurs de l’hôpital Albert Einstein à São Paulo, qui est aujourd’hui l’un des plus grands et prestigieux centres médicaux d’Amérique du Sud. En Israël, il a initié la construction de l’hôpital d’avant-garde pour enfants Edmond et Lily Safra à Tel Hashomer.

Dans le domaine de la recherche médicale, il était un donateur significatif de l’Institut Pasteur à Paris, l’Institut Weizmann en Israël, la Fondation Michael J. Fox pour la recherche sur la maladie de Parkinson aux États-Unis, ainsi que de nombreux centres étudiant des maladies spécifiques dans le monde entier. Il a créé la Chaire Edmond et Lily Safra dans la recherche contre le cancer du sein à l’Université de Tulane.

Source : Wikipédia

À l’orée des années 1990, la fortune d’Edmond Safra est estimée à 2,5 milliards de dollars. Il effectue de nombreuses donations pour des hôpitaux, des écoles, des universités, ainsi que pour des organisations caritatives de par le monde. À presque 60 ans, le financier passe son temps entre ses résidences genevoises, new-yorkaise et sa villa de la Côte d’Azur.

Affaibli par la maladie de Parkinson, Edmond Safra décide de vendre son empire financier.

En décembre 1999, Edmond Safra meurt à 67 ans asphyxié dans son appartement de Monaco par un incendie d’origine criminelle. Quelques jours plus tôt, il avait été naturalisé monégasque par ordonnance souveraine du prince Rainier III. Il est enterré au Cimetière israélite de Veyrier, à Genève.

Edmond J. Safra a soutenu de nombreuses causes et organisations partout dans le monde dans des domaines variés tels que l’éducation, la médecine, la culture et l’humanitaire.

Edmond Safra a massivement contribué à la construction et la restauration de synagogues, celles portant dans le monde entier le nom de son père témoignent de cet engagement.

Il a construit la première synagogue depuis 500 ans à Madrid et a aidé à rénover et agrandir des synagogues à Amsterdam, Istanbul, Naples, Budapest, Rhodes et Vienne. Il a sauvé de la destruction la plus vieille synagogue de France, à Clermont-Ferrand, en l’achetant pour la communauté. Il a contribué à l’expansion de la synagogue de Cannes et de la synagogue Beth El à Paris. Il a également aidé à remettre à neuf des synagogues dans beaucoup de petites villes françaises incluant Évian, Annemasse et d’autres.

En plus de soutenir des synagogues en Israël, les tombes de Rabbi Meïr Baal Haness et Rabbi Shimon bar Yohaï étaient très importantes pour Edmond Safra, qui était un très généreux donateur pour ces sites de pèlerinages. Pendant de nombreuses années, à Chavouot (Pentecôte Juive), le jour de l’anniversaire de la mort de son père, il allait prier sur la tombe de Rabbi Meïr jusqu’à l’aube.

Edmond J. Safra a donné des millions de dollars pour fournir des traitements médicaux contre les maladies. Les hôpitaux à travers le monde – par exemple l’hôpital cantonal de Genève, les hôpitaux de France et de nombreuses institutions aux États-Unis – ont bénéficié de la générosité d’Edmond Safra. Il était un des fondateurs de l’hôpital Albert Einstein à São Paulo, qui est aujourd’hui l’un des plus grands et prestigieux centres médicaux d’Amérique du Sud. En Israël, il a initié la construction de l’hôpital d’avant-garde pour enfants Edmond et Lily Safra à Tel Hashomer.

Dans le domaine de la recherche médicale, il était un donateur significatif de l’Institut Pasteur à Paris, l’Institut Weizmann en Israël, la Fondation Michael J. Fox pour la recherche sur la maladie de Parkinson aux États-Unis, ainsi que de nombreux centres étudiant des maladies spécifiques dans le monde entier. Il a créé la Chaire Edmond et Lily Safra dans la recherche contre le cancer du sein à l’Université de Tulane.

Edmond J. Safra croyait qu’une éducation universitaire était essentielle pour une jeune personne dans le monde moderne, lui-même n’ayant jamais été à l’université. Il a donné des bourses universitaires à des dizaines de milliers d’étudiants au travers de l’ISEF (International Sephardic Éducation Foundation, une institution que lui et sa femme ont créée en 1977 afin de soutenir des étudiants israéliens. Les bénéficiaires des bourses ISEF ont été décorés partout dans le monde dans chacune des disciplines.

Edmond J. Safra a également aidé directement des universités, en soutenant des chaires ou des programmes en particulier (comme les Études Judaïques). Par exemple, à l’Université d’Harvard, il a financé la Chaire Jacob E. Safra d’Histoire juive et de Civilisation sépharade, et il a offert des dons significatifs pour la Chaire Robert F. Kennedy d’études latino-américaines. À l’école de Business Wharton de l’université de Pennsylvanie, il a créé la Chaire Jacob E. Safra en banque internationale et le Centre Safra de recherche d’affaires.

Il était aussi un donateur important de l’Université Américaine à Beyrouth, et il a été récompensé de doctorats d’honneur par l’Université hébraïque de Jérusalem et l’Université Yeshiva (où il a créé l’Institut Jacob E. Safra d’Études sépharades) pour son soutien continu à ces institutions.

En ce qui concerne l’éducation des enfants, Edmond Safra a été particulièrement attentif aux écoles dans les villes où il a vécu – par exemple, il a créé l’École Girsa, la première et plus grande école juive de Genève. Il a été très fier de créer l’École Beit Yaacov à Bat Yam, qui a été plusieurs fois évaluée parmi les meilleures écoles d’Israël.

Il était aussi un des bienfaiteurs les plus importants au monde des yeshivot (écoles religieuses formant de jeunes hommes à être rabbins, enseignants du judaïsme et juges), aidant ainsi de nombreuses institutions dans le monde entier.

Sa femme, Lily Safra, perpétue son souvenir depuis lors au travers de la fondation Edmond J. Safra, qui soutient des projets éducatifs, médicaux, scientifiques, culturels et humanitaires, dans près de 50 pays. En France, la fondation a participé à l’ouverture du centre Clinatec à Grenoble en 2011, visant à implanter des dispositifs biomédicaux à l’échelle nanométrique dans le cerveau, afin de lutter contre les maladies neurodégénératives.

La fondation Edmond J. Safra a généreusement participé en 2001, à l’achat de l’immeuble qui abrite actuellement le centre culturel et l’école qui porte le nom Edmond J. Safra à Bordeaux.

Source : Wikipédia